Bravely Default 2 - Test

Bravely Default 2 est le suite sans l’être de Bravely Default. Gné ? Comme d’autres séries avec elle comme Dragon Quest ou Fire Emblem, Bravely Default nous livre une suite qui n’est pas la suite direct des deux jeux précédents mais qui se déroule dans le même type d’univers, de mécanique et d’ambiance. Du coup, qu’avons-nous au programme ?

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Vous incarnez Seth (ou peu importe car vous pouvez le renommer), marin fraîchement naufragé qui va se trouver au bon endroit pour être pote avec deux mercenaires (Elvis et Adèle) afin d’aider la princesse Gloria a défendre le cristal du vent. Le destin étant bien fait, ce petit groupe va devoir réunir les cristaux et sauver le monde et Seth est un héros de la lumière au passage. Comme quoi… Tout est bien fait. Mine de rien, tout s’emboîte et l’ambiance est sympathique. Nos quatre héros sont attachants et mine de rien, on prend plaisir à les voir collaborer et parcourir le monde ensemble. Mon chouchou reste Elvis qui, en plus d’avoir le nom d’une méga star, est le perso cool et un peu tête en l’air que j’apprécie. Ceci dit, il faut admettre que le jeu est plutôt gentillet et qu’il n’y aura pas d’effet wahou !

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Idem pour les graphismes et les musiques qui sont de qualité mais qui n’ont pas LE truc pour nous estomaquer. C’est bien simple, Bravely Default 2 donne l’impression de pouvoir tourner sur ma 3DS. C’est un peu exagéré mais si peu…

Le gameplay est le même qu’avant avec ses différents « jobs » qui sont toujours aussi flexibles que sympa. On se créé vraiment une équipe sur mesure même s’il faut avouer que l’impression de devoir dérouiller 250 000 ennemis pour monter en niveau est un peu trop présente. Après, il y a tout de même des qualités et le système Brave ou Default pour gagner davantage d’action en combat, est toujours sympathique.

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Bravely Default 2 est un petit jeu sympa, mignon mais qui ne surprend pas pour un sou. Les anciens joueurs de la série seront donc en terrain archi connu et les néophytes trouveront un jeu de rôle fort appréciable. Mais il lui manque un brin de folie, une étincelle pour véritablement nous emporter dans une grande histoire.